Les Talons Rouges (Épisode N°04) LÉpreuve Suprême
LES TALONS ROUGES (épisode N°04)
Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, se laisse courtiser par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Après avoir lavoir déflorée, Jacques lentraine dans des dépravations insensées pour la mure aristocrate. Après lavoir rasée et lavoir initiée à la fellation, il laccule au sadomasochisme en roulant avec elle dans un fourré dorties.
IV Lépreuve suprême
Le soir, après le dîner, Jacques va retrouver Agathe dans ses appartements. Celle-ci a revêtu la nuisette et le déshabillé en soie et en dentelles mauve que son amant lui a rapportés de son dernier voyage. Elle est complètement nue au-dessous, se montrant très provocante avec lhomme qui lentraîne dans la folie enivrante dune perversion troublante. Sa peau est encore un peu rouge, mais, depuis quelle sest enduite de pommade adoucissante, les brûlures occasionnées par les orties se sont apaisées. Elle a encore envie de faire lamour, elle songe quelle devient vraiment insatiable. Pourtant elle est inquiète, car Jacques lui a dit que ce soir il faudrait quelle accepte de perdre encore un peu de sa virginité. Elle ne comprend pas très bien ce quil veut dire par là. Lui ayant accordé déjà tout ce qui lui semble possible. Soudain, alors que Jacques est devant elle, la réalité se fait jour et elle comprend que son amant va vouloir ce soir la sodomiser. Elle comprend mieux les attouchements quelle a subi lavant-veille, où Jacques a pénétré son anus avec un doigt. Étrangement, elle na pas eu mal et même elle en a ressentie une sensation confuse. Tout de même, la verge de son amant ne va pouvoir pénétrer entre ses fesses si facilement. Un sentiment de panique lenvahit soudain à la pensée quelle risque dêtre blessé, voire déchirée par le sexe tout de même imposant de son compagnon. Jacques sest rendu compte de lémoi de sa belle. Il a deviné quelle avait compris ce quil avait prévu de lui faire subir.
- Mais oui ma Chérie ! Vous avez bien deviné ce qui vous attend ! Je vais vous sodomiser, cest le seul endroit que vous ayez encore intact. Il me faut votre cul ma Chère ! Vous navez pas le choix.
Résignée à ce dernier outrage, Agathe se sent tout de même mortifiée dêtre une victime aussi consentante. Pourtant, soumise à la volonté de lhomme qui la révélé, sans un mot, elle nhésite pas. Se retournant avec une impudence quelle ne se connaissait pas, elle retrousse son déshabillé jusquà la taille, et, se campant sur ses jambes en les disjoignant, elle se penche en avant offrant son postérieur, ses mains posées sur ses fesses écartant les globes, pour quil atteigne plus facilement son illet qui se contracte spasmodiquement.
Jacques, amusé, sapproche tout en mouillant son majeur de salive, il caresse la raie culière jusquà la rosette noir violacée quil agace malicieusement, puis il se fraye un passage au travers du sphincter qui se contracte autour de son doigt, élargissant peu à peu lorifice qui se prête à sa manuvre. Le conduit étroit sest resserré fermement, alors quil sent les palpitations et la chaleur torride de la chair profanée sur son index qui fouille la cavité encore inexplorée. Agathe pousse malgré elle un gémissement, mortifiée de se savoir offerte aux agissements démoniaques de son amant. Celui-ci, impavide, ressort son doigt du rectum, puis, il sort de sa poche un tube de crème émolliente, spécialement faite pour la pratique de la sodomie quil a achetée dans un sex-shop à Paris. Il en fait glisser avec son index dans le rectum dAgathe, badigeonnant lintérieur du conduit anal jusquà ce quil se coule parfaitement dans la gaine étroite, puis, il ajoute son médium, ce qui fait sursauter la femme qui malgré tout ne se dérobe pas devant ce quelle sattend à subir. Jacques fait aller ses doigts dans un va-et-vient continu, assouplissant ce cul qui lexcite furieusement.
Aussi, il lui faut beaucoup de maîtrise sur soi pour ne pas la forcer immédiatement. Pour se calmer, il retire de sa poche un anus picket, ce petit godemiché qui permet dhabi les femmes à la sodomie. Il lintroduit délicatement dans la rosette qui souvre difficilement, le faisant pénétrer progressivement dans le goulet trop étroit, arrachant cette fois des gémissements de douleur à Agathe qui tremble de tout son corps et ne peut sempêcher de supplier.
- Oh ! Noon !..... Aie ! Aiiieee !... Pitiééé !.. Nooon !.... Nooooon !..... Jaie trop mal ! Je vous en supplie Aie ! Aiiieee !... Nooooooooooonn Oh !
Aaaaarrrrrrrrrr...... Ooooh ! Ooooh !
Mais Agathe se calme, le gode étant maintenant bien en place dans son anus. Elle est encore terrifiée par ce quil lattend, au désespoir de pouvoir attendrir son amant, mais, telle une proie offerte à son bourreau, elle accepte linconcevable intromission prochaine.
- Pardon mon chéri ! Javais trop mal, mais continuez ! Je ne dirais plus rien, je vous le promets ! Je vous aime ! Prenez mon postérieur, il est à vous !
Jacques la pousse vers le lit et la fait sagenouiller. Pendant que dune main, il maintient lengin de plastique, de son autre main il flatte la vulve et caresse le clitoris, calmant ainsi les appréhensions de la future enculée. Le godemiché est maintenant engagé entièrement dans lanus, tandis quun renflement lempêche de ressortir seul, permettant à Jacques de soccuper de sa maîtresse dune façon plus courtoise.
La retournant délicatement, il lembrasse tendrement, tout en la masturbant avec adresse, la faisant monter presque jusquà lorgasme, puis sarrêtant quelques minutes pour quelle revienne sur terre.
Jacques se laisse glisser le long du corps dAgathe et, tout en écartant ses jambes, il enfouit sa tête dans lentrecuisse, explorant de sa langue le vagin béant, aspirant la sève odorante de la féminité épanouie, fouillant les moindres plis des grandes et petites lèvres, suçotant la petite saillie ronde du clitoris, le mordillant doucettement, faisant monter rapidement la femme au septième ciel. Trois fois il recommence ; à chaque fois, lorgasme arrive plus vite, jusquà ce quAgathe crie grâce et sabandonne dans un alanguissement voluptueux. Alors, sentant son sexe gonflé et dur, il lenduit de la même crème quil a déjà introduite dans lanus, puis il demande à Agathe de bien relever ses jambes à léquerre. Celle-ci est surprise, son amant ne va-t-il pas la sodomiser et la prendre dans son vagin ? Mais celui-ci retire doucement lanus picket du rectum, puis il présente son vit devant le cratère encore ouvert, et, très subtilement, il pousse graduellement son gland dans lorifice qui résiste un peu. Puis, petit à petit, son phallus senfonce patiemment dans lanus inviolé. Agathe pousse de petits cris, se retenant le plus possible pour ne pas hurler sa douleur à ce monstre qui envahit ses entrailles. Bientôt, la verge atteint la limite du fondement, simmobilisant pour que le conduit rectal shabitue à cette intromission monstrueuse.
Agathe regarde intensément Jacques qui est transfiguré par le plaisir quil ressent. Elle se veut ainsi offerte à son amant. Aussi, oubliant sa douleur, elle projette son bassin vers le membre qui la transperce, revenant en arrière delle-même, afin dinstaurer un va-et-vient lent et continu de la verge, qui glisse maintenant parfaitement dans le conduit rectal.
- Oh ! Aie ! Nooon !.... Oui ! Viens mon chéri ! Encore ! Encore !
Aie ! !.... Aaaaaaaaaaahhhh !........ Aaarrrrrrrr !... Ouuuuiiiiiiiiiii......... Je meurrrrrrrrrrrrrrr... Aaaaahhh !.... Je nen peux plus
Aaaaassez !... Oh ! Je taimeeeeeeeeeeeeee
..
Jacques, à ces cris qui lémoustillent accélère sa cadence et, cest dans un rugissement quil répand sa semence dans les entrailles longuement barattées. Agathe sest évanouie pour de bon, épuisée par la tension, la peur, la douleur et le plaisir intimement mélangés quelle a pu ressentir. Jacques sétend auprès delle, recouvrant du drap et dune couverture leurs deux corps harassés, puis, terrassé par lassaut quil vient de donner, il sendort, lui aussi auprès de sa compagne inanimée.
Après un nouveau voyage à Paris qui a duré cette fois deux bonnes semaines, Jacques est de retour au château de Garralda. Le soir même, il retrouve Agathe qui est de plus en plus amoureuse et se frotte contre lui, lui disant son envie dêtre prise et le grand manque quelle a ressenti durant ces jours interminables. Jacques essaie de calmer ses ardeurs, lui disant quil a concocté un petit jeu durant son escapade parisienne, et quil revient avec des cadeaux bien sûr, quil lui donnera plus tard, mais que dans linstant elle devra encore une fois se plier à ses désirs. Agathe éperdue damour et de désir acquiesce avec joie, lui disant quelle attend les surprises. Jacques lui passe dabord un bandeau de tissu sur les yeux quil lui noue derrière la tête. Ensuite il la déshabille lentement, caressant son corps qui frémit de désir contenu. Puis, il la fait étendre sur le lit et lui attache les poignets avec des menottes quil a sorties dun gros sac de voyage. Agathe est un peu inquiète de se sentir prisonnière, surtout lorsque Jacques attache ces menottes aux barreaux métalliques de la tête du lit. Mais ce nen est pas fini, car lui prenant une cheville il lui passe aussi une paire de bracelets métalliques quil fixe aux barreaux du bas, en faisant autant de lautre cheville peu après. Agathe est ainsi écartelée et entravée, ne pouvant se défendre des agissements de son amant.
Elle ne peut sempêcher de questionner.
- Jacques, pourquoi mattacher ? Vous savez bien que je ferais ce que vous voudrez. Répondez-moi mon amour !
En fait de réponse, elle entend une porte qui souvre et se referme, puis, des chuchotements, comme si plusieurs personnes se trouvaient dans la pièce. Elle appelle cette fois avec de langoisse dans la voix.
- Jacques ?
Jacques, répondez-moi sil vous plaît ?
Que se passe-t-il ?
Oh ! Mon Dieu ! Ne me laissez pas sans réponse.
Cest à ce moment quelle sent une main très froide lui caresser un sein, puis une autre, chaude cette fois, sintroduire entre ses cuisses. Affolée elle pousse un petit cri, puis.
- Jacques ? Cest vous nest ce pas ? Je vous en supplie, répondez-moi ! Ne mabandonnez pas ! Qui sont ces gens ? Oh ! Jai honte.
Agathe pleure maintenant, car les chuchotements ont repris et elle sent sur son corps des mains et des objets qui sagitent en tous sens. Une verge recouverte dun préservatif vient de sintroduire dans sa vulve, alors quune autre, habillée aussi dun chapeau de plastique, ballotte près de son visage, effleurant ses joues et ses lèvres. Les chuchotements comportent aussi des voix féminines. Cest un vrai cauchemar quelle vit là. Combien de personnes la voient ainsi nue et sans défense à leurs fantasmes. Alors que la verge plonge dans son vagin avec vigueur, des lèvres aspirent son clitoris et des doigts écartent ses fesses. Elle ne peut sempêcher de vibrer sous les attouchements pervers. Inattendu, un orgasme déferle en elle, alors quun doigt a percé lillet de son anus et vient frotter contre la verge qui pourfend sans arrêt son conin et quune langue titille toujours son gros bourgeon. Elle ne peut sempêcher de crier son bonheur.
- Oh ! Oh ! Nooon !.... Oh ! Mon Dieu ! Oui ! Ouiiiii ! Nooon !.... Ouiiiii ! Ouiiiii ! Aaaaaaaaaaahhhh !........ Oh ! Cest trop bon ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ahhhhhhhhhhhh ! Continuez ! Oui comme ça ! Nooon !.... Jai honte ! Mais continuez ! Ooooh ! Ooooh ! Oui ! Oui ! Oui ! Mhhhh.... Mhhhh.... Aaaaaaaaaaahhhh !........
Son corps, garrotté aux montants du lit, se tend comme un arc devant la jouissance incroyable qui déferle dans ses chairs enflammées, elle crie, elle sanglote, se prêtant à toutes ces mains, ces bouches et ces sexes qui la pénètrent pas tous ses orifices, jusquà lorgasme final qui la secoue violemment et la laisse anéantie sur le lit. Cest à ce moment, que son bandeau est arraché et quelle saperçoit que seul Jacques est présent, affublé de toutes sortes dobjets : Gants en plastique et en gros caoutchouc, godemichés en plastique mou, imitant à la perfection les nervures dune vraie verge, certains recouverts de préservatifs, etc
Jacques lui révèle la supercherie, alors quil arrête un petit magnétophone qui diffusait les vois et chuchotements quelle a entendus.
- Mais ma chère, je constate que vous êtes prête aux amours multiples, je suis certain que je ne vous suffis plus à présent, il va falloir vous trouver dautres amants pour vous contenter.
- Jacques jai honte, vous mavez fait croire que plusieurs personnes étaient dans ma chambre et me faisaient lamour. Jétais effrayée par cette situation et pourtant, je nai pu mempêcher déprouver un bonheur intense. Mais vous êtes un coquin, cest vous seul qui mavez fait jouir avec vos mains et votre bouche et vos
vos accessoires. Oh ! Vous êtes un monstre.
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